En 1946, BERCHENY part pour l’Algérie et devient régiment parachutiste de la 25e division aéroportée. Le 1er RHP est ensuite présent en Indochine, participe aux opérations du Rif marocain puis en Algérie, dans le Constantinois et l’Est Algérois.

Il regagne la métropole en juillet 1961, à Sedan, puis, en novembre 1963, rejoint TARBES, son actuelle garnison. 

 lien

http://www.engival.fr/const-1rhp.htm

Si vous avez des liens a proposer sur le 1 RHP en Algerie ,n'hesitez pas.
retrouvez  Jacques Baratta  et bien d'autre sur copain d'avant 
http://copainsdavant.linternaute.com/membre/13096917/1748602356/jacques_baratta/

Source 1RHP.INFO

Mardi 17 mars 2009

Grandes couleurs avec le retour d’ Afghanistan du 3ème escadron

  C’est sous le ciel bleu de Bigorre que le 1er Régiment de Hussards Parachutistes a salué avec émotion le retour au quartier Larrey du  3ème escadron aux ordres du capitaine de Ligneville.
Projeté en Afghanistan au mois de septembre dernier, dans la région de KABOUL après les évènements survenus dans la vallée d’Uzbeen, l’escadron a participé avec rigueur et détermination aux opérations conduites sans relâche  par le 3ème RPIMa dans un environnement particulièrement hostile.
Cette prise d’armes, présidée par le Colonel François François VILLIAUMEY de retour du TCHAD, a permis de leur rendre hommage et de reconnaître la valeur de ses hussards. « Ils ont porté haut les couleurs du régiment dans un contexte difficile.»
Le chef de corps a profité de cet instant pour remercier l’ensemble du personnel militaire et civil, resté en Bigorre cet hiver, pour avoir maintenu les fonctions vitales du régiment et soutenu les familles.
Après le retour des unités d’Afghanistan et du Tchad, le régiment a pour priorité de se préparer aux futures missions. Place donc à l’instruction et à l’entraînement encadrés par les maîtres mots du chef de corps Rigueur, Enthousiasme, Volonté, Entraide.

Que de souvenir en voyant cette video

Deux feux en neuf jours au camp de Ger

Incendie. Hier, un sinistre, probablement d'origine criminelle, a détruit plusieurs dizaines d'hectares dont la moitié de la zone de saut.

Les pompiers ont traité en priorité la zone de saut, détruite à moitié par l'incendie. Photo DDM, Laurent Dard.

Un énième incendie a détruit plusieurs dizaines d'hectares d'herbe et de broussailles, hier après-midi au camp de Ger. C'est le deuxième sinistre en neuf jours après celui qui a dévasté 160 hectares, vendredi 13 et samedi 14 mars. Les deux fois, il n'y a eu aucune intervention militaire : pas de tir, pas de saut. Les deux incendies se sont produits le week-end. Même si c'est la saison des écobuages - un écobuage est d'ailleurs programmé, le 31 mars, au camp de Ger - il y a de fortes probabilités pour que ces deux feux soient d'origine criminelle. Y a-t-il un pyromane qui en veut au camp de Ger ou qui a quelque intérêt à allumer ces sinistres ? Toutefois, des négligences ou des imprudences ne sont pas à écarter. La zone est accessible et entourée de terrains agricoles. Une zone de pacage, près du bois d'Azet, accueille environ 70 chevaux.

zone de saut brûlée

Le précédent sinistre avait détruit une partie de la zone de saut en parachute Ger-Rieutort. Hier, l'incendie a démarré dans la zone de saut Ger-Azet, qui a été à moitié détruite. « Je rappelle que c'est la plus longue zone de saut d'Europe, avec 3.200m. Quand il y a un incendie, on ne peut pas sauter pendant trois semaines car il y a un risque que l'on abîme nos voiles sur les cendres », explique l'officier incendie du camp de Ger. Hier, d'importants moyens de secours ont été déployés sur place pour éteindre l'incendie : environ 70 hommes et une vingtaine d'engins du 65 et du 64. Le secteur est piégeux et exposé au vent. Un camion-citerne s'est embourbé dans un marécage. Le feu était attisé par un vent d'ouest tournant. Un engin agricole a été pris dans l'incendie. « Malgré le marécage, ça brûle. Le terrain est sec. Le vent a rapidement fait progresser le front de feu », explique le commandant Garrigos, responsable de l'opération. Les pompiers ont notamment stoppé le sinistre avant qu'il ne gagne le bois d'Azet. Hier soir, le feu était éteint. En 2008, il y a eu huit incendies sur le site.